Fruit de l’esclavage, le ‘’maloya’’ fut longtemps cantonné à des fêtes clandestines, les kabars, où les esclaves affirmaient leur désir d’indépendance dans une musique rituelle de transe.
Ti’Kaniki poursuit ce processus de transmission au sein d’un groupe sans chanteur fixe, sans instruments harmoniques, dans la tradition des premiers kabars. Tout le monde chante et joue des différentes percussions. C’est une approche unique dans le ‘’maloya’’ actuel. Ti’Kaniki se singularise aussi par les apports de cultures exogènes (Cameroun, Colombie..).
Ti’Kaniki ce n’est pas seulement un concert, mais un vrai kabar, un moment de partage dans la ferveur et la spontanéité.
Un premier EP live « Maloya à l’Opéra » (janvier 2020) précède un album à paraître début 2021.
Sélection WOMEX 2020
Agenda Ti’kaniki