Fruit de l’esclavage, le ‘’maloya’’ fut longtemps cantonné à des fêtes clandestines, les kabars, où les esclaves affirmaient leur désir d’indépendance dans une musique rituelle de transe.
Ti’Kaniki poursuit ce processus de transmission au sein d’un groupe sans chanteur fixe, sans instruments harmoniques, dans la tradition des premiers kabars. Tout le monde chante et joue des différentes percussions. C’est une approche unique dans le ‘’maloya’’ actuel. Ti’Kaniki se singularise aussi par les apports de cultures exogènes (Cameroun, Colombie..).
Ti'Kaniki is not just a concert, but a real kabar, a moment of sharing in fervor and spontaneity.
Ti'Kaniki is not just a concert, but a real kabar, a moment of sharing in fervor and spontaneity.
WOMEX 2020 selection
Agenda Ti’kaniki